Après son « Holy Hell » de 2018 qui l’a aidé à faire de deuil de son guitariste parti trop tôt de manière tragique, le groupe anglais revient avec un album en forme de constat. On a ruiné la planète pourrait en être le titre. Architects livre une musique plus accessible (car moins technique), mais toujours aussi puissante grâce à des guitares qui arrachent tout sur leur passage avant de céder la place à des sons synthétiques et un chant plus mélodique que jamais qui font corps avec les compositions pour délivrer un metalcore moderne totalement ancré dans son époque.
Guillaume Ley