Encore plus pour le groupe polonais de black-death. Plus d’orchestrations, de chœurs, de cordes, d’arrangements… Un album certes plus léché et ambitieux que les précédents, mais qui n’entache en rien la puissance de la musique du combo, toujours aussi sombre et satanique. Car Behemoth n’a pas remisé sa technique au placard en imposant du solo guitare impressionnant et conserve un vrai côté brutal à l’image de son Neo-Spartacvs dévastateur, qui rappelle le meilleur de son black-death pondu il y a une dizaine d’années. Toujours aussi maléfique, en plus d’être accessible. Guillaume Ley