Quatrième album du groupe parisien, « Seas Of Static » pourrait bien être celui de la reconnaissance pour Dead Horse One. Son shoegaze mâtiné d’influences diverses comme celles de Deftones ou de la vague grunge des nineties prend ici une nouvelle ampleur grâce à une production plus massive. À peine une demi-heure, certes, mais remplie de puissance et d’émotion avec un vrai sens de la mélodie servi sur certains titres par un mur de guitares, imposant une intensité autant qu’une densité qui vous tiennent en haleine jusqu’au bout.