Pour son sixième album, Periphery, maître incontesté du djent, ne s’est pas reposé sur ses lauriers et a choisi de se renouveler, tout en continuant de proposer une musique technique, souvent complexe, mais toujours avec quelques refrains bien catchy de temps à autre pour alléger l’ensemble. Un renouvellement qui se fait sentir dès Reptile, titre d’ouverture de plus de 16 minutes que les fans de metal progressif sauront apprécier. Sombre et lumineux à la fois, ce nouvel opus démontre que Periphery ne s’est jamais senti aussi libre qu’aujourd’hui.
Olivier Ducruix