Quatre ans après un quelque peu décevant « Wolves » à la production trop léchée, Rise Against revient plus en forme que jamais, la présence aux manettes de Bill Stevenson, légendaire batteur des Descendents, n’étant sans doute pas étrangère à ce regain de vitalité. Certes, la recette est sans surprise, à savoir du punk-rock mélodique exécuté dans les règles de l’art. Et pourtant ça fonctionne du début jusqu’à la fin, grâce à une pluie de riffs efficaces lorgnant du côté de Bad Religion et des refrains fédérateurs sur fond de questions de société, le tout porté par une solide section rythmique. Good job !
Olivier Ducruix