Attention, on a trouvé le moyen de décoller tout en se faisant écraser et ce, avec un seul album : prenez du son piqué à Black Sabbath, au doom et au stoner, ajoutez une grosse dose de psychédélisme sixties, réverbe et sons barrés compris, et n’oubliez jamais votre côté pop. Voilà, vous avez la recette parfaite pour voyager dans un merveilleux univers, où le premier Tame Impala aurait fricoté avec la guitare d’Electric Wizard, quelque part dans un garage de la banlieue londonienne. Les gars de Swedish Death Candy l’ont fait. On ne peut que les en remercier. Guillaume Ley