Avec son rock fortement influencé par le grunge des années 90, les mélodies – du moins les plus immédiates – chères aux Queens Of The Stone Age et une frontwoman dont la voix puissante n’est pas sans rappeler celle de Mlny Parsonz, la bassiste-chanteuse de Royal Thunder, Black Mirrors a de solides arguments pour se faire une place de choix dans le paysage musical actuel. C’est sale juste ce qu’il faut, savamment radio friendly sans être pour autant racoleur, et sacrément bien ficelé du premier au dernier morceau. Oui, demain se fera bien avec les Belges de Black Mirrors, c’est une certitude.