Tout comme son prédécesseur (« CMF »), ce second volume en solo de Corey Taylor part dans tous les sens. Si on y entend quelques clins d’œil plus ou moins appuyés à ses groupes principaux (Slipknot et Stone Sour), il faut surtout prendre ce nouvel album comme si notre homme invitait son auditoire à découvrir sa discothèque personnelle. Metal, punk, balade acoustique, rock mainstream pour les radios US à base de gros riffs et autres refrains fédérateurs : Corey Taylor ne s’interdit rien, plus libre que jamais. Un disque (trop ?) hétéroclite qui tient la route, à écouter comme une playlist sur une plateforme de streaming.