Quelque part entre garage rock élégant et americana musclée, Nikki Lane, à l’origine grande prêtresse de l’outlaw country, a trouvé sa place grâce à un album produit par Josh Homme, sur lequel on entend clairement la griffe du leader des Queens Of the Stone Age (et de ses camarades venus lui prêter main forte) à de nombreuses reprises. Sans prendre le pas sur la personnalité de la chanteuse, c’est au contraire une véritable fusion qui s’opère et donne naissance à un excellent album où chacun a su mettre sa patte. Country-rock made in Joshua Tree : classe.
Guillaume Ley