Dans son second album, Puppy ne cherche pas une nouvelle fois à cacher sa forte attirance pour les années 90 (des Smashing Pumpkins – en tête de liste – à Weezer, en passant par le grunge) avec toujours ces références plus ou moins discrètes à un hard rock issu d’une autre époque et cette approche souvent pop dans les structures. Une mixture plutôt originale (déjà présente dans « The Goat »), tantôt sucrée, d’autres fois plus lourde, qui permet aux trois Anglais, non sans un humour forcément so british (preuves à l’appui avec leurs vidéos délicieusement décalées), d’afficher une certaine personnalité. Well done, guys !
Olivier Ducruix