Avec « Club Majesty », Royal Republic continue sa quête de la bonne humeur ultime. Encore un peu plus funky que son prédécesseur (Under Cover, le très Daft Punk Flower Power Madness), empruntant même les recettes chères à Fatboy Slim sur un titre (Stop Movin’), ce quatrième album n’en oublie pas pour autant ce que le quatuor suédois sait toujours aussi bien faire : pondre des riffs nerveux (Bulldog) et autres mélodies indie rock imparables (Fortune Favors). Bienvenue au club et que la fête commence !
Olivier Ducruix