Chez The Bronx, il y a un côté rassurant, qui pourrait certes en énerver plus d’un, avec cette propension à toujours évoluer dans un même registre, et ce sixième album ne déroge pas à la règle. Le quintet américain, renforcé par l’arrivée de Joey Castillo (ex-Queens Of The Stone Age, Danzig et Zakk Sabbath) derrière les fûts, continue de porter la bonne parole, celle d’un punk rock énergique et racé, toujours habité par la même foi qu’à ses débuts, l’expérience en plus. Entre explosions rageuses, refrains taillés pour les stades et mid-tempos classieux, The Bronx réalise ici l’un de ses meilleurs disques… comme à chaque fois.
Olivier Ducruix
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