Dans son troisième album (le précédent, l’excellent « Nothing Is Ever Over » sorti en juin 2020, avait été sauvagement fauché par la pandémie), The Eternal Youth continue de mélanger avec bonheur et un indéniable talent la new wave des années 80 avec une certaine idée du punk rock et une science de la mélodie empruntée à l’indie rock. Si certains peuvent penser que sur le papier ces styles musicaux sont – a priori – antinomiques, le quatuor normand n’a que faire des règles préétablies et réussit au final à rassembler dans un même disque les fantômes de The House Of Love et des Buzzcocks. Well done, guys !