Après son « The Astonishing », album complexe et ultra ambitieux réparti sur une paire de disques, le groupe américain semble vouloir revenir à un contenu plus mélodique et plus facile d’accès, histoire de rassurer les fans de la première heure. À ce titre, « Distance Over Time » est réussi. En revanche, le résultat est sans surprise. Dream Theater a trouvé un bon équilibre entre classic rock et rock prog, avec une production massive et moderne (et un gros son de basse sur S2N) qui permet à son dernier disque de passer l’épreuve des écoutes sans forcer. Mais sera-t-il encore un classique du genre dans quelques années ? Guillaume Ley