Avec la Vibe Machine, la marque boutique croate DryBell a conçu ni plus ni moins
que l’Uni-Vibe ultime
dans un boîtier pas plus gros qu’une pédale MXR...
Cette version 2 bénéficie
de quelques améliorations et d’un mode Custom supplémentaire : on a beau chercher, on ne voit pas
ce que les plus exigeants pourraient demander de plus. Dès le départ, l’idée de base était de reproduire le plus fidèlement l’Uni-Vibe originelle, dans toute sa richesse sonore... et toute sa simplicité d’utilisation. Impossible de se perdre :
un switch True Bypass, l’inévitable commutateur Chorus/Vibrato et les indispensables réglages de profondeur et de vitesse (couplés à une led rythmique). La musicalité de l’effet est sublime, c’est chaud, limpide, et pour cause : le circuit est basé sur les mêmes cellules photosensibles. Une entrée peut accueillir un switch optionnel (Tap Tempo ou mode à deux vitesses façon Leslie) ou
une pédale d’expression pour contrôler la vitesse au pied. S’y ajoutent une foule de paramètres annexes :
un switch à trois modes (Original/Bright/Custom) pour récupérer au besoin quelques aigus, et pas moins de six trim-pots accessibles directement par de petits trous sur les côtés du boîtier. Volume et Grit permettent de s’adapter au reste de la chaîne et à la saturation (qu’on ne manquera pas de brancher à la suite), Range et Symmetry de jouer avec la forme d’onde, Custom ajuste l’impédance d’entrée du mode correspondant en fonction des micros
de l’instrument, et enfin Chorus pour la profondeur. Certes, le prix est conséquent, mais cette V2 conforte la place de la Vibe Machine dans le peloton de tête des meilleures Uni-Vibe du marché. Marco Peter - Photo : © Olivier Ducruix
Caractéristiques
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