Le « problème » avec Gary Clark Jr., c’est que depuis début, il navigue à vue entre blues, soul, rap… Mais a-t-on besoin vraiment besoin de trouver une cohérence ? Le mélange des genres est sa force. Cinq ans après le magnifique « This Land », le guitariste texan flirte autant avec les rythmes hérités d’Afrique sur Mektub que le r’n’b sur JPG RAW, le jazz sur To The End Of The World, le groove à la Kravitz sur Hearts In Retrograde… On a des images plein la tête, surtout sur ses collaborations avec Stevie Wonder et George Clinton. Encore une réussite. Gary Clark est un grand.