Vous vouliez une expérience aussi sombre qu’intense ? Foncez dans le dernier Mur la tête la première. Vous verrez, ça fera mal, dans tous les sens du terme. Le post-black metal avant-gardiste du groupe se tourne plus vers les claviers qu’à l’accoutumée, dérange autant qu’il invite à voyager entre pure violence et ambiances à la limite du post-rock, s’amuse à déstructurer le Such A Shame de Talk Talk avant de terminer avec une incroyable pièce instrumentale aux relents de synthwave digne des plus grands groupes de rock progressif de la fin des seventies. Une expérience totale.
Guillaume Ley
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