Il y aura toujours une certaine forme de mysticisme dans la musique de Phil Reptil, un petit côté emprunté aux Indiens Kwakiutl et leur notion du partage. En parlant partage, on peut justement citer la présence sur ce disque de nombreux invités comme Nosfell, Étienne Gaillochet et Macdara Smith (qui jouent avec Reptil dans Zarboth)… Cette fois, Phil se pose, développe son propos de manière plus douce et atmosphérique, en proposant des morceaux sur lesquels les sons acoustiques prennent le temps de répondre à une certaine forme d’électricité plus apaisée. Une jolie approche.