Avec « Sinner-Songwriter », Phillip-Michael Scales a semble-t-il des péchés à se faire pardonner. Au total, quatorze chansons-confessions dans la veine blues-rock qui tiennent superbement bien la route, des refrains qui restent en tête et des grooves largement variés. Pas de solos virils comme on pourrait peut-être s’y attendre dans ce registre, mais qu’importe. Celui qu’on présente parfois un peu facilement comme le neveu de BB King est bien plus que ça. PM Scales : un nom à retenir et un premier disque qui donne la foi.
Florent Passamonti