Bait The Sun habillée de trompettes féériques, Can It Be et sa guitare 12-cordes, Don’t Worry et sa basse sautillante, Home Again et ses arpèges oniriques, Life Boat et ses bandes passées à l’envers, A Message From The Heart et ses ondulations
de Mellotron... Le petit génie du Massachusetts continue de nous émerveiller avec ce troisième album solo et ses tours de passe-passe de production qui renouent avec la magie pop des Beatles ou des Byrds. À l’instar de Jacco Gardner, Doug Tuttle est un de ces rares artisans à jongler avec les mélodies avec autant de talent et de simplicité. Purée que cette pop est douce ! Flavien Giraud