Le rock psychédélique se conjugue plus que jamais au féminin : L.A. Witch (versant garage noir), Los Bitchos (instrumental et couleurs orientales)… Et bien sûr La Luz (lumineux ?), qui continue de naviguer entre ambiances girl-bands 60s, surf-music west-coast et pop douce-amère, sans jamais laisser la mélancolie l’emporter sur ce cinquième album (le premier chez Sub Pop), malgré un contexte lourd de changements et d’épreuves traversées par le groupe californien et la guitariste-chanteuse Shana Cleveland. La résilience par le riff ?