Préparez-vous à affronter de véritables morceaux de bravoure, mêlant jazz et musique progressive le temps de longues plages (deux morceaux de 17 minutes, un autre de 20 minutes…) qui ramèneront certains à l’époque où l’école de Canterbury, Soft Machine en tête, brillait de mille feux. Si la production et l’approche de certains instruments est plus moderne, l’esprit de liberté et la créativité sont bel et bien présents pour mieux vous projeter en plein psychédélisme. Une belle expérience, aussi culottée que risquée en cette ère du streaming et du picorage de chansons éparses.
Guillaume Ley