Ah, l’amour, ça vous change un homme. Popa Chubby, qui enquillerait presque les albums comme Bonamassa (avec moins de disques live, certes), revient avec une livraison plus joyeuse et positive, sur laquelle il raconte qu’il aime sa femme, qu’il trouve une nouvelle voie et essaie même de s’exprimer – de manière approximative – en français le temps d’une chanson pour ses fans de l’Hexagone (et son label) qui l’ont toujours soutenu. Sans surprise, mais sans fard ni artifice non plus : plus apaisé, mais toujours engagé, le blues de Poppa reste authentique.
Guillaume Ley